Vous consultez la nouvelle version du site. Pour accéder à l'ancienne version, cliquez ici.
Flash info
Journée nationale de la paix 2025 : le ministère des Eaux et Forêts mise sur l’arbre comme symbole d’unité
14 nov. 2025, 21:16

Plusieurs personnalités étaient présentes pour le planting d’arbres à Abobo

Ecoutez cet article en audio

Lire
Continuer
Pause
Arrêter

En prélude à la Journée nationale de la paix 2025, le ministère des Eaux et Forêts a organisé, vendredi 14 novembre 2025, une cérémonie de planting d’arbres à l’Agora d’Abobo, en présence de la maire de la commune, par ailleurs présidente du Sénat, Kandia Camara, ainsi que de la ministre de la Cohésion nationale, de la Solidarité et de la Lutte contre la pauvreté, Myss Belmonde Dogo.

Cette initiative, inscrite dans la dynamique de promotion de la paix, a été présentée comme un geste fort de cohésion sociale. La maire d’Abobo a tenu à rappeler la portée symbolique de cet acte.

« Planter un arbre, c’est donner vie. Planter un arbre, c’est permettre à des populations de s’abriter sous l’ombre de ses branches. C’est offrir un espace où parents, familles et communautés peuvent se retrouver, passer du temps ensemble, mais aussi régler d’éventuels différends. On parle souvent de l’arbre à palabres, mais on aurait dû dire, l’arbre de la cohésion, l’arbre de la réconciliation, l’arbre de la paix », a-t-elle déclaré, soulignant la dimension sociale et culturelle de ce geste.

De son côté, le représentant du ministre des Eaux et Forêts, Laurent Tchagba, le directeur de cabinet adjoint Antoine Djaha, a rappelé le caractère national  de cette action. « Chaque année, à la même période, le planting d’arbres se déroule sur l’ensemble du territoire. Aujourd’hui, l’arbre et la paix symbolisent la cohésion nationale dans un environnement préservé. L’arbre pour la paix, et la paix pour l’arbre. Celui qui plante un arbre, c’est quelqu’un qui a confiance en l’avenir », a-t-il indiqué, insistant sur le lien étroit entre environnement et stabilité sociale.

La cérémonie, placée sous le sceau de la paix, s’est achevée par la mise en terre de deux espèces : le Kokoman et le Cordia, choisis pour leur résistance et leur importance écologique.

Dominique Koba

Donnez votre avis