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Un collectif d’Ivoiriens de la diaspora saisit l’ONU sur la « dégradation préoccupante » des droits humains en Côte d’Ivoire
18 août 2025, 16:29

Antonio Guterres, secrétaire général de l’ONU

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Saisine du Comité des Droits de l’Homme de l’ONU par un collectif d’Ivoiriens de la diaspora ivoirienne

Un collectif de membres de la diaspora ivoirienne a officiellement saisi le Comité des Droits de l’Homme des Nations Unies (ONU) afin d’attirer l’attention de la communauté internationale sur la dégradation préoccupante de la situation des droits humains en Côte d’Ivoire.

Cette initiative, conduite par :

Dr Mathias Nehan, Coordinateur Europe-Asie du CIP et Président du mouvement "Génération en Mouvement pour Thiam",

Maître Hiwanou Pehe, Coordinatrice du Mouvement « Tous en Action avec Tidjane Thiam » au Royaume Uni, (TACT UK) et Représentante Pays UK du CIP.

Dr Bokoua Kedier, enseignant-chercheur en économie et data analyst,

vise à dénoncer les détentions arbitraires et les persécutions politiques visant les opposants au régime en place.

Parmi les cas emblématiques de cette répression ciblée figure celui de Madame Pascale Zaholy, Députée suppléante du PPA-CI, actuellement détenue arbitrairement dans des conditions contraires aux normes nationales et internationales.

Le collectif souligne également que plusieurs membres du PDCI-RDA et du PPA-CI sont actuellement incarcérés sans procédure judiciaire équitable, en violation manifeste de leurs droits fondamentaux. Ces détentions, souvent prolongées sans jugement ni preuves tangibles, s’inscrivent dans un climat d’intimidation et de musellement de l’opposition politique en Côte d’Ivoire.

Dans une communication urgente adressée au Comité des Droits de l’Homme de l’ONU, les signataires appellent les instances internationales à :

Exiger la libération immédiate et inconditionnelle de Madame Pascale Zaholy et de tous les détenus politiques, 

Mettre fin aux poursuites judiciaires motivées par des considérations politiques,

Protéger les droits à la liberté d’expression, de manifestation pacifique et de participation à la vie politique,

Veiller au respect par la Côte d’Ivoire de ses engagements internationaux en matière de droits de l’homme.

NB. Le titre est de la résaction

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