Des auditeurs en DIDH exhibant fièrement leurs certificats de réussite
Elle a saisi l’occasion pour appeler ceux et celles qui sont intéressés à suivre ces formations à se rapprocher de ses services, annonçant qu’en 2024, l’Université des Droits de l’Homme organisera une session ordinaire portant sur les droits de la Femme à partir de septembre 2024.
Mme Namizata a ajouté que cette formation qui sera lancée en août 2024 donnera également l’opportunité à 180 auditeurs et auditrices en présentiel et en ligne de bénéficier de connaissances sur cette thématique portant sur la promotion, la protection et la défense des droits de la Femme. Le prochain cycle de l’Université des Droits de l’Homme débute ce vendredi 12 juillet 2024 pour prendre fin le 27 novembre.
S’adressant aux auditeurs en fin de cycle, la présidente les a félicités pour l’intérêt porté à cette formation tout leur demandant de recommander cette formation à leurs amis et proches, émettant le vœu que ces parchemins servent aux auditeurs dans leur carrière professionnelle et ouvre des portes d’emploi pour ceux qui sont en quête.
Le président de la Haute autorité de la communication audiovisuelle, maître René Bourgoin, invité spécial de la cérémonie, représenté par son directeur général, Dembélé Yacouba, s’est félicité de l’initiative prise par le CNDH en créant cette université des droits de l’homme. Il a en outre félicité les auditeurs pour leur brillante réussite et les a exhortés à s’armer de courage et de persévérance pour lutter efficacement en faveur des droits de l’homme, avant de leur rappeler que « le combat pour les droits de l’homme est un combat quotidien ».
A l’image des autres récipiendaires, Modeste Aka, auditeur en DIDH, se satisfait d’avoir « navigué pendant cinq mois les flots de la connaissance de cette matière, pour s'approprier les principes fondamentaux et leur fonctionnement afin d'exiger des débiteurs d’obligations leur respect, leur protection et leur mise en œuvre ». Car pour lui, la connaissance et le respect des Droits de l'Homme étant indissociables de la qualité de l'État de droit et de la démocratie dans un pays, il appartient au citoyen de faire respecter ses droits en les connaissant.
Pour eux donc, « ce parchemin représente plus qu’un simple document mais le symbole de leur engagement à défendre les droits de l’homme et à opter pour un monde plus juste et équitable ».
Lambert KOUAME
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